Court-métrage
Les splendides
« Personne n’a fait plus d’allers-retours en prison qu’une maman. Personne ne tient autant les murs qu’une soeur. Et qui raconte nos histoires, à nous, les meufs de cité ? » Meryem-Bahia Arfaoui met en lumière l’invisible et fait briller celles qui tous les jours illuminent la cité par leur force.
Avec ce film, elle a remporté le concours d’Arte « Et pourtant elles tournent » en 2021, dont la consigne était de réalisé un court-métrage documentaire de autour d’un thème unique : “Besoin de personne”.